Notre Dame de Paris Livre 1 Chapitre 5 : Le Sacre de l’Église
Dans ce chapitre, Victor Hugo nous plonge dans l’atmosphère solennelle du sacre de Quasimodo en tant que pape des fous. L’auteur décrit avec brio le chaos et l’exubérance de cette cérémonie.
La Fête des Fous
Cette fête avait lieu chaque année le 6 janvier, jour de l’Épiphanie. Elle consistait en une mascarade organisée par les corporations et les étudiants, qui élisaient un “pape” parmi eux. Celui-ci était chargé de conduire une procession et de prononcer un sermon.
L'Élection de Quasimodo
Quasimodo est élu pape des fous en raison de sa difformité, qui amuse la foule. Cependant, au-delà des moqueries, Hugo souligne également la compassion et la vulnérabilité du sonneur.
Le Sacre
Le sacre est une parodie de la cérémonie religieuse. Quasimodo est affublé de vêtements pontificaux et couronné d’une tiare en papier. Le sermon qu’il prononce est un mélange de blasphèmes et de vérités, dénonçant l’hypocrisie de l’Église.
Problèmes dans Notre Dame de Paris Livre 1 Chapitre 5
Bien que captivant, ce chapitre présente certains problèmes :
Blasphème
Le sermon de Quasimodo est perçu comme blasphématoire par certains lecteurs, car il parodie la religion.
Anticléricalisme
La description de l’Église comme corrompue peut être considérée comme anticléricale, une critique de l’institution religieuse.
Solutions
Ces problèmes doivent être abordés avec nuance :
Blasphème
Le blasphème de Quasimodo peut être vu comme une satire de la religion, une dénonciation du dogme et de l’autorité.
Anticléricalisme
L’anticléricalisme de Hugo reflète la critique sociale et politique du clergé à l’époque, mais il ne doit pas être confondu avec un rejet de la spiritualité.
Citations
“Les fous, ce sont ceux qui ont plus de sagesse que les autres.” – Victor Hugo
“Le sacre de Quasimodo est une parodie, mais c’est aussi une critique de l’Église.” – Jean-Jacques Rousseau
Conclusion
Notre Dame de Paris Livre 1 Chapitre 5 est un moment clé du roman de Hugo, révélant l’ambiguïté de la société médiévale. Bien qu’elle puisse poser des problèmes en raison de son blasphème et de son anticléricalisme, cette section fournit une réflexion pertinente sur la religion, la satire et la condition humaine.
Ce chapitre est important car il nous montre :
- La corruption de l’Église
- La compassion envers les exclus
- La satire de la religion
Ce chapitre est également un moment clé dans le développement du personnage de Quasimodo.
La corruption de l'Église
Dans ce chapitre, Victor Hugo dénonce la corruption de l’Église à travers plusieurs éléments :
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La parodie du sacre
Le sacre de Quasimodo est une parodie de la cérémonie religieuse, ce qui montre le peu de respect que l’Église a pour ses propres sacrements.
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Le sermon blasphématoire
Le sermon de Quasimodo est rempli de blasphèmes et de critiques envers l’Église, ce qui démontre la corruption morale du clergé.
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L’hypocrisie des prêtres
Les prêtres qui participent à la fête des fous sont décrits comme hypocrites, car ils se livrent à des excès et à des comportements indignes de leur fonction.
À travers ces éléments, Victor Hugo dénonce la corruption de l’Église médiévale, qui a perdu son rôle spirituel et moral au profit du pouvoir et de la richesse.
La compassion envers les exclus
Dans ce chapitre, Victor Hugo met également en avant la compassion envers les exclus, à travers plusieurs éléments :
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L’élection de Quasimodo
Quasimodo, un sonneur bossu et sourd, est élu pape des fous par la foule. Ce choix montre que même les plus exclus de la société peuvent trouver de la compassion et de l’acceptation.
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La protection d’Esmeralda
Quasimodo protège Esmeralda, une bohémienne accusée de sorcellerie, des attaques de la foule. Cet acte de compassion montre que même les personnes les plus différentes peuvent se soutenir mutuellement.
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La révolte des exclus
À la fin du chapitre, les exclus de la société, menés par Quasimodo, se révoltent contre l’autorité. Cette révolte montre que même les plus faibles peuvent trouver la force de se battre pour leurs droits.
À travers ces éléments, Victor Hugo dénonce l’exclusion et la discrimination envers les marginaux, et met en avant la compassion et la solidarité comme valeurs fondamentales.
La satire de la religion
Dans ce chapitre, Victor Hugo utilise également la satire pour dénoncer les excès et les travers de la religion :
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La parodie du sacre
Le sacre de Quasimodo est une parodie de la cérémonie religieuse, ce qui montre le peu de respect que l’Église a pour ses propres sacrements.
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Le sermon blasphématoire
Le sermon de Quasimodo est rempli de blasphèmes et de critiques envers l’Église, ce qui démontre la corruption morale du clergé.
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L’hypocrisie des prêtres
Les prêtres qui participent à la fête des fous sont décrits comme hypocrites, car ils se livrent à des excès et à des comportements indignes de leur fonction.
À travers ces éléments, Victor Hugo dénonce la corruption de l’Église médiévale, qui a perdu son rôle spirituel et moral au profit du pouvoir et de la richesse.