Résumé Du Livre Le Médecin Malgré Lui De Molière

Résumé du livre Le Médecin malgré lui de Molière

Salut à tous ! Aujourd’hui, on va se plonger dans le monde burlesque et satirique de la comédie classique française avec l’une des pièces les plus célèbres de Molière : Le Médecin malgré lui. Embarquez avec nous pour un résumé explosif de cette farce satirique.

1. Le bonhomme Sganarelle

Imaginez Sganarelle, un pauvre bûcheron qui n’a que faire de la médecine. Mais le destin en a décidé autrement. Suite à une dispute avec sa femme, Martine, il se retrouve pris au piège par deux valets qui le prennent pour un médecin réputé. Forcé de jouer ce rôle malgré lui, notre malheureux bonhomme va se retrouver embarqué dans une série de péripéties rocambolesques.

2. La fille muette et le mari cocu

Au cœur de l’intrigue, nous rencontrons Géronte, un riche bourgeois qui s’inquiète pour sa fille, Lucinde, qui a soudainement perdu la parole. Déterminé à la soigner, Géronte engage le “médecin” Sganarelle, sans se douter de sa supercherie. Mais ce dernier, dépassé par les événements, va surtout provoquer plus de chaos dans la maisonnée, au grand dam de Géronte qui se retrouve cocu par la même occasion.

3. Les clés de la farce

Le Médecin malgré lui est une farce qui joue sur le quiproquo, les malentendus et les situations cocasses. Molière utilise notamment le langage pour créer des effets comiques, comme les expressions populaires et les jeux de mots. Les personnages sont caricaturaux et les situations exagérées, ce qui amplifie la dimension humoristique de la pièce.

4. Une satire de la médecine et de la société

Au-delà de son aspect divertissant, Le Médecin malgré lui est également une satire de la médecine de l’époque, souvent critiquée pour son charlatanisme. Molière s’en prend également à la société du XVIIe siècle, marquée par l’hypocrisie et les apparences trompeuses. En représentant un “médecin” incapable, Molière pointe du doigt les travers et les incompétences qui gangrènent le monde médical et au-delà.

En conclusion

Le Médecin malgré lui est une comédie irrésistible qui nous entraîne dans un univers burlesque et satirique. Avec ses personnages hauts en couleur et ses situations farfelues, Molière nous offre une critique acerbe de la société et de la médecine de son temps. Une pièce incontournable pour découvrir l’humour mordant et le talent de l’un des plus grands dramaturges français.

**Résumé Du Livre Le Médecin Malgré Lui De Molière**

Points importants :

• Farce satirique
• Quiproquo et situations cocasses
• Critique de la médecine
• Satire de la société

Cette comédie irrésistible nous plonge dans un univers burlesque et critique, où Molière s’attaque aux travers de la société et de la médecine de son temps.

Farce satirique

La farce est un genre théâtral comique qui met en scène des personnages caricaturaux et des situations exagérées. Elle vise à faire rire le public en utilisant des quiproquos, des malentendus et des coups de théâtre.

• Quiproquo et malentendus

  Dans Le Médecin malgré lui, les quiproquos et les malentendus sont omniprésents. Sganarelle, pris pour un médecin malgré lui, se retrouve confronté à des situations qu’il ne maîtrise pas. Ces quiproquos créent des moments de comédie irrésistibles, comme lorsque Sganarelle tente de diagnostiquer la “maladie” de Lucinde en lui demandant de lui montrer sa langue… et qu’elle lui montre sa culotte !

• Situations cocasses

  Les situations cocasses sont également légion dans la pièce. Sganarelle, déguisé en médecin, se comporte de manière grotesque et provoque des situations burlesques. Par exemple, lorsqu’il tente de donner un lavement à Lucinde, il se retrouve aspergé d’excréments. Ces situations cocasses renforcent le côté comique de la farce.

En utilisant la farce comme genre théâtral, Molière critique avec humour les travers de la société et de la médecine de son temps. Il dénonce notamment le charlatanisme des médecins et l’hypocrisie de certaines personnes.

Quiproquo et situations cocasses

Les quiproquos et les situations cocasses sont deux éléments clés de la farce satirique. Ils permettent à Molière de créer des moments de comédie irrésistibles et de critiquer avec humour les travers de la société et de la médecine de son temps.

• Quiproquos

  Les quiproquos sont des malentendus qui créent des situations comiques. Dans Le Médecin malgré lui, les quiproquos s’enchaînent à un rythme effréné. Par exemple, lorsque Sganarelle, déguisé en médecin, se présente chez Géronte, celui-ci le prend pour un véritable médecin et lui demande de soigner sa fille, Lucinde. Sganarelle, qui n’y connaît rien en médecine, se retrouve dépassé par les événements et multiplie les quiproquos, au grand dam de Géronte.

• Situations cocasses

  Les situations cocasses sont des situations burlesques qui provoquent le rire. Dans Le Médecin malgré lui, les situations cocasses sont légion. Par exemple, lorsque Sganarelle tente de donner un lavement à Lucinde, il se retrouve aspergé d’excréments. Ou encore, lorsqu’il essaie de faire boire une potion à Géronte, celui-ci la recrache sur le visage de Sganarelle. Ces situations cocasses renforcent le côté comique de la pièce et permettent à Molière de critiquer avec humour les travers de la médecine de son temps.

Les quiproquos et les situations cocasses sont donc deux éléments essentiels de la farce satirique. Ils permettent à Molière de créer des moments de comédie irrésistibles et de critiquer avec humour les travers de la société et de la médecine de son temps.

Critique de la médecine

Dans Le Médecin malgré lui, Molière critique avec humour les travers de la médecine de son temps. Il dénonce notamment le charlatanisme des médecins et leur ignorance. À travers le personnage de Sganarelle, qui se fait passer pour un médecin malgré lui, Molière montre que n’importe qui peut se faire passer pour un médecin et exercer la médecine, même sans aucune compétence.

Molière critique également la manière dont les médecins traitent leurs patients. Dans la pièce, Sganarelle donne des diagnostics farfelus et prescrit des traitements absurdes. Par exemple, il recommande à Géronte de purger sa fille avec du tabac et de lui faire boire de l’encre. Ces traitements absurdes soulignent l’ignorance des médecins de l’époque et leur manque de considération pour leurs patients.

En critiquant la médecine de son temps, Molière vise à dénoncer le charlatanisme et l’incompétence de certains médecins. Il montre que la médecine n’est pas une science exacte et que les médecins ne sont pas toujours fiables. Cette critique est toujours d’actualité aujourd’hui, car il existe encore de nombreux charlatans qui prétendent pouvoir guérir toutes les maladies.

Satire de la société

Dans Le Médecin malgré lui, Molière ne se contente pas de critiquer la médecine. Il s’attaque également à la société de son temps, en dénonçant notamment l’hypocrisie, la cupidité et la bêtise.

• L’hypocrisie

  Molière dénonce l’hypocrisie de certaines personnes qui prétendent être vertueuses mais qui, en réalité, sont pleines de vices. Dans la pièce, le personnage de Géronte est un exemple parfait d’hypocrite. Il se prétend un homme pieux et respectable, mais il est en réalité cupide et égoïste. Il veut marier sa fille à un médecin riche, non pas parce qu’il se soucie de son bonheur, mais parce qu’il veut profiter de sa fortune.

• La cupidité

  Molière critique également la cupidité de certaines personnes qui sont prêtes à tout pour s’enrichir. Dans la pièce, le personnage de Valère est un exemple parfait de cupide. Il est prêt à épouser Lucinde, non pas parce qu’il l’aime, mais parce qu’il veut profiter de sa dot.

• La bêtise

  Molière se moque également de la bêtise de certaines personnes qui sont incapables de penser par elles-mêmes et qui se laissent facilement manipuler. Dans la pièce, le personnage de Lucas est un exemple parfait de bêtise. Il est tellement crédule qu’il croit tout ce que Sganarelle lui dit, même les choses les plus absurdes.

En dénonçant l’hypocrisie, la cupidité et la bêtise, Molière critique les travers de la société de son temps et invite ses contemporains à réfléchir sur leurs propres comportements.